Le phare de la Caravelle :La vie des gardiens de phare :
Le premier gardien est nommé à la Caravelle le 17 avril 1892, à cette époque il fallait une présence humaine permanente. Ils étaient 3 et se relayaient pour travailler toujours pas groupe de 2. Chacun travaillait 6 jours consécutifs avec 3 jours de repos. Les gardiens de phare arrivaient à pied par un chemin étroit, impraticable aux véhicules. Ils portaient leurs provisions pour les 6 jours, y compris l’eau potable. Au fil des années, le chemin devint plus praticable aux véhicules qui transportaient les barils de pétrole et plus tard les bouteilles de gaz.
Fonctionnement du phare :
1862 : vapeur de pétrole : source énergétique qui a alimenté le phare pendant plus d’un siècle et qui nécessitait une présence humaine.
1970 Gaz butane : les bouteilles de gaz étaient changées tous les 15 jours, la présence permanente des gardiens n’était donc plus indispensable.
1982 Eolienne : le vent était transformé en énergie stockée dans des batteries pour alimenter le phare. Tous les 15 jours, une visite d’entretien était nécessaire.
1992 : Groupe électrogène : élément de substitution installée en attente de la nouvelle source d’énergie solaire.
1995 : panneaux solaires : le soleil est transformé en énergie stockée dans des batteries pour alimenter le phare. L’entretien s’effectue tous les 2 mois.
1996, un feu de secours et un système de télécontrôle sont mis en place. Ils permettent de connaître l’état du phare et de le faire fonctionner depuis Fort-de-France.
Si vous regardez bien vous voyez la Dominique, elle est toute proche.
Le premier gardien est nommé à la Caravelle le 17 avril 1892, à cette époque il fallait une présence humaine permanente. Ils étaient 3 et se relayaient pour travailler toujours pas groupe de 2. Chacun travaillait 6 jours consécutifs avec 3 jours de repos. Les gardiens de phare arrivaient à pied par un chemin étroit, impraticable aux véhicules. Ils portaient leurs provisions pour les 6 jours, y compris l’eau potable. Au fil des années, le chemin devint plus praticable aux véhicules qui transportaient les barils de pétrole et plus tard les bouteilles de gaz.
La profession de gardien de phare disparut complètement à la Caravelle en 1970. Le gaz ayant remplacé le pétrole. A cette époque une bonbonne de 40 litres de gaz assurait le fonctionnement du phare pendant 15 jours, sans nécessité de présence humaine. C’est ainsi que l’on se passa définitivement des gardiens sur le site.
Fonctionnement du phare :
1862 : vapeur de pétrole : source énergétique qui a alimenté le phare pendant plus d’un siècle et qui nécessitait une présence humaine.
1970 Gaz butane : les bouteilles de gaz étaient changées tous les 15 jours, la présence permanente des gardiens n’était donc plus indispensable.
1982 Eolienne : le vent était transformé en énergie stockée dans des batteries pour alimenter le phare. Tous les 15 jours, une visite d’entretien était nécessaire.
1992 : Groupe électrogène : élément de substitution installée en attente de la nouvelle source d’énergie solaire.
1995 : panneaux solaires : le soleil est transformé en énergie stockée dans des batteries pour alimenter le phare. L’entretien s’effectue tous les 2 mois.
1996, un feu de secours et un système de télécontrôle sont mis en place. Ils permettent de connaître l’état du phare et de le faire fonctionner depuis Fort-de-France.
Si vous regardez bien vous voyez la Dominique, elle est toute proche.
La station météorologique de la Caravelle, construite en 1939 à l’extrême Est de la Martinique, a longtemps constitué une véritable vigie de surveillance des cyclones. (sur la photo, elle se situe juste à côté de la tête de virgie).La baie du Trésor : Vue de la balade :
Un mancenillier, c'est un arbre très toxique, il faut ni toucher son tronc, ni ses feuilles, ni ses fruits, et surtout pas s'abriter dessous quand il pleut car ça vous brûle. Sympa non, y'en a un peu partout sur l'île, ils sont tous (enfin j'espère) entouré d'un trait rouge pour qu'on puisse les reconnaître. Petite plage paradisiaque pour le pic nic.
Et moi, toujours aussi bien dans le sac de Virgie pour la marche :-)
Un mancenillier, c'est un arbre très toxique, il faut ni toucher son tronc, ni ses feuilles, ni ses fruits, et surtout pas s'abriter dessous quand il pleut car ça vous brûle. Sympa non, y'en a un peu partout sur l'île, ils sont tous (enfin j'espère) entouré d'un trait rouge pour qu'on puisse les reconnaître. Petite plage paradisiaque pour le pic nic.
Et moi, toujours aussi bien dans le sac de Virgie pour la marche :-)
1 commentaire:
après avoir lu ton blog, on est plus instruit. Ton ile, toujours aussi belle, nous donne des fourmis dans les jambes. Bisous.
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