20 février 2011

Col des Mamelles

Col des mamelles est le col qui permet de passer d'un côté de Basse-Terre à l'autre. On a une très belle vue sur Grande-Terre
et Point-à-Pitre.
Puis sur la côte Caraïbe.

19 février 2011

Maison de la forêt

C'est une maison crée par le parc national de la Guadeloupe pour expliquer la vie et les problèmes des forêts tropicales. 

Au départ de la maison, le sentier de découverte de Bras-David,
permet de découvrir les plantes aux noms mystérieux qui composent la forêt tropicale.
Comme la siguine blanche aux feuilles immenses en forme de cœur, l'acomat-boucan qui a un certain rapport avec le poulet boucané (ne me demandez pas pourquoi, je n'en sais rien !!!) ou l'ananas-bois qui étanche la soif des oiseaux.
Et puis, les arbres tels que le marbri, le sapotillier bâtard, le bois brésilette, le mapou baril ...
 
Impossible de tout retenir, mais balade très sympathique. Permet de mettre en jambe pour les autres qui nous attende.

18 février 2011

Cascade aux ecrevisses

Promenade courte de 10 minutes, dans un chemin entièrement équipé.

Pour accéder à une belle petite cascade.

17 février 2011

Marches des esclaves

Pour notre 2ième jour en Guadeloupe, nous voilà à Petit Canal, un bourg sans grand intérêt, mais il demeure pourtant un haut lieu historique de la Guadeloupe. En effet, c'est par ce "canal" que l'on débarquait les esclaves. Une bonne partie d'entre eux était immédiatement dirigée vers les exploitations sucrières dont Petit Canal était l'un des principaux centres au début du XIXs.
A côté de l'église, on peut voir l'émouvant escalier édifié par les esclaves eux-mêmes, aux marches irrégulières.

Chaque marche porte le nom des différents ethnies africaines qui les ont gravies : Congos, Yorubas, Ibos, Ouolofs, Peuls, Bamilekés.
En haut de l'escalier, une stèle comménore cet épisode historique douloureux avec ce simple mot : "liberté".
En bas de l'escalier, un tamtam pisé sur un socle de marbre est érigé à le mémoire de l'esclave inconnu.
 
En retrait, l'ancien entrepôt où les esclaves étaient parqués en attendant d'être vendus.

16 février 2011

La pointe de la Grande Vigie

A l'extrémité nord de la Grande-Terre, spectacle impressionnant de ces falaises abruptes, hautes de 80m, fouettées par une mer houleuse.
Un petit câlin, avant de partir voir ses impressionnantes falaises.
J'essaye de faire ma star, avec un cadre comme celui la, c'est assez facile :-)
Photo de famille, au moment du couché de soleil, qui donne encore plus de charme au lieu.
Par très beau temps, possibilité de voir (nous on a eu de la chance, on a tous vue) La Désirade (à 50 km), Montserrat (à 70 km), l'île qui a de nouveau fait parler d'elle en 2010, et qui nous a surtout empêcher de partir visiter la Floride, souvenez vous. Vous apercevez un nuage de fumée au sommet de cette île, en éruption constante depuis plusieurs années.
Et pour finir Antigua (à 80 km).
Virgie à vraiment adoré cette vue, c'est pour elle un de ces plus beaux souvenirs de Guadeloupe.
On est heureux :-P
Encore des photos, car Virgie a vraiment adoré et qu'elle me supplie de vous en montrer le plus possible.

Un couché de soleil magnifique ce soir la, qui est d'ailleurs à l'origine de toutes ces belles couleurs.

15 février 2011

Les portes de l'enfer

Situé dans le nord de la Grande Terre, voici les portes de l'enfer, plus impressionnante que celle que nous avons vu le matin au Moule.

Ça ressemble plutôt à un coin de paradis. Un endroit isolé avec un couloir d'eau qui s'enfonce profondément dans les terres. Très abritée, l'eau est calme et transparente comme un lagon,
alors que tout au bout l'océan rugit de toute sa puissance.
Petite rando, chemin difficile à trouver,
mais au retour, on remarque que des gens comme nous en avait marre de ne pas trouver le chemin, alors ils ont créer une flèches.
Fait chaud dans ce pays.
En direction du trou du souffleur, un gouffre en pleine terre de 10m de diamètre et 40m de profondeur, au fond duquel on voit la mer se déchaîner.

Le trou de Mme Coco.
Il devrait son nom à une certaine Mme Coco, disparue ici avec son ombrelle à la suite d'un chagrin d'amour. En tout cas, ce mystérieux effondrement de roche (et de Mme Coco) est un gouffre qui attire toutes sortes de légendes et, parait-il, les cérémonies de certains sorciers locaux encore en exercice, les fameux "quimboiseurs"; Leur nom viendrait de l'expression créolisée "tiens, bois !", en référence aux nombreuses potions qu'ils font avaler à leurs clients.

14 février 2011

Maison Zévallos

Plus haute et étroite, voici une maison d'époque coloniale singulière par sa forme et par son origine présumée, dont la soeur jumelle est l'actuel musée Saint-John-Perse à Pointe à Pitre.
Légende sur ces 2 maisons : 
La légende raconte que 2 maisons auraient été commandées vers 1870 en France, à l'atelier de Gustave Eiffel, par un riche propriétaire de Louisiane désireux de doter ses filles. Le navire qui acheminait (en pièces détachées !) dut faire escale à Pointe à Pitre pour cause de graves avaries. Son capitaine vendit alors les maisons aux enchères pour payer les réparations ... La première devint la plus belle demeure coloniale de Pointe-à-Pitre. Quand à la seconde, appelée maison Zévallos, elle a échoué sur la commune du Moule !

13 février 2011

La pointe d'enfer du Moule

Le Moule est un petit port au nord-est de la Grande Terre, qui respire l'authenticité guadeloupéenne. Nous ne nous sommes pas attardées dans le village, mais avons fait un tour au niveau de la pointe d'enfer.
Mais d'abord, un pic nic, car il commence à faire bien faim. Au menu, pain, chips et surimi.
De hautes falaises en fer à cheval forment celle anse très encaissée, fermée par des récifs de corail sur lesquels se fracassent les vagues.
Le petit chemin pour y arriver.
Les falaises.
















Petite photos de famille.
Guedou fait un gros bisou à Mily.
Et une petite dernière pour la route.