30 novembre 2009

Anse Dufour et Anse Noire

Pour notre journée du mardi nous voilà en direction d'Anse Noire et Anse Dufour.
Ces 2 anses sont côte à côte mais elles présentent une singularité géologique. Séparées par un promontoire rocheux et seulement distantes de quelques dizaines de mètres, la plage d'Anse Noire est couverte d'un sable volcanique (noir) similaire à celui des plages du nord de la Martinique (chez "nous"), tandis que celle de l'Anse Dufour est composée de sable médroporique (blanc), tout comme les autres plages du sud de l'île.On commence par l'Anse Dufour, où nous nous sommes posées.Les abris de pêche.La plage.Les pêcheurs qui rentrent.Derrière les abris de pêche: d'un côté vue sur l'intérieur ...... de l'autre vue sur la mer.Et là c'est pour remonter à la voiture.Bronzette pour Virgie et tata GiGiVirgie a trouvé son restaurant.
Le pic nic entre les 2 anses, au moins on avait un table, un banc et abritées du soleil. Miam Miam
L'Anse Noire, il faut descendre plus de 100 marches pour accèder à la plage, alors vous n'allez avoir la vue que d'en haut, on n'avait pas le temps, il fallait qu'on aille au Diamant.On zoom un peu.

29 novembre 2009

La Caravelle

Pour la journée du lundi nous voilà partie découvrir la pointe de la Caravelle. Elle se situe à l’Est de la Martinique, pas loin de Trinité.La presqu’ile de la Caravelle constitue la première émergence géologique de la Martinique (25 millions d’années).
Le phare de la Caravelle :La vie des gardiens de phare :
Le premier gardien est nommé à la Caravelle le 17 avril 1892, à cette époque il fallait une présence humaine permanente. Ils étaient 3 et se relayaient pour travailler toujours pas groupe de 2. Chacun travaillait 6 jours consécutifs avec 3 jours de repos. Les gardiens de phare arrivaient à pied par un chemin étroit, impraticable aux véhicules. Ils portaient leurs provisions pour les 6 jours, y compris l’eau potable. Au fil des années, le chemin devint plus praticable aux véhicules qui transportaient les barils de pétrole et plus tard les bouteilles de gaz.
La profession de gardien de phare disparut complètement à la Caravelle en 1970. Le gaz ayant remplacé le pétrole. A cette époque une bonbonne de 40 litres de gaz assurait le fonctionnement du phare pendant 15 jours, sans nécessité de présence humaine. C’est ainsi que l’on se passa définitivement des gardiens sur le site.

Fonctionnement du phare :
1862 : vapeur de pétrole : source énergétique qui a alimenté le phare pendant plus d’un siècle et qui nécessitait une présence humaine.
1970 Gaz butane : les bouteilles de gaz étaient changées tous les 15 jours, la présence permanente des gardiens n’était donc plus indispensable.
1982 Eolienne : le vent était transformé en énergie stockée dans des batteries pour alimenter le phare. Tous les 15 jours, une visite d’entretien était nécessaire.
1992 : Groupe électrogène : élément de substitution installée en attente de la nouvelle source d’énergie solaire.
1995 : panneaux solaires : le soleil est transformé en énergie stockée dans des batteries pour alimenter le phare. L’entretien s’effectue tous les 2 mois.
1996, un feu de secours et un système de télécontrôle sont mis en place. Ils permettent de connaître l’état du phare et de le faire fonctionner depuis Fort-de-France.

Si vous regardez bien vous voyez la Dominique, elle est toute proche.
La station météorologique de la Caravelle, construite en 1939 à l’extrême Est de la Martinique, a longtemps constitué une véritable vigie de surveillance des cyclones. (sur la photo, elle se situe juste à côté de la tête de virgie).La baie du Trésor : Vue de la balade :
Un mancenillier, c'est un arbre très toxique, il faut ni toucher son tronc, ni ses feuilles, ni ses fruits, et surtout pas s'abriter dessous quand il pleut car ça vous brûle. Sympa non, y'en a un peu partout sur l'île, ils sont tous (enfin j'espère) entouré d'un trait rouge pour qu'on puisse les reconnaître. Petite plage paradisiaque pour le pic nic.
Et moi, toujours aussi bien dans le sac de Virgie pour la marche :-)

26 novembre 2009

La route de la Trace [4]

L'église de Balata
Un peu d'histoire sur l'église de Balata. C'est une réplique en miniature de la basilique du Sacré-Coeur à Paris. Sa construction a débuté en 1915 suite à l'afflux des réfugiés de la région de Saint Pierre, qui quittaient leur région à cause de l'éruption de la montagne pelée en 1902 (promis cette histoire je vous la raconte bientôt, mais c'est pas encore le bon poste). Sa construction fut achevée en 1929.
J'ai aussi pris ces informations sur le Lonely Planet, j'aurais peut être pu les trouver dans l'église, mais encore une fois le guide s'est trompé, car il indiquait ouvert tous les jours, alors que c'était fermé le dimanche après midi. Donc pas de photos de l'intérieur pour le moment, mais la prochaine fois, j'espère pouvoir y retourner pour voir si ce que dit le guide sur l'intérieur est vrai.
Belle vue sur la baie de Fort de France d'un côté ...
... et des pitons du Carbet de l'autre, mais comme par hasard ils étaient couverts ce jour là, donc pas de photos.

Et voilà la journée de dimanche s'achève. Beaucoup plus remplie que celle d'hier mais quand même moins fatiguante que celle du lendemain.

La route de la Trace [3]

Pic nique sous la pluie

Pour cette journée de visite, rien de tel qu'un bon pique nique sous la pluie.

On a mangé en compagnie d'un chien et d'un chat, qui était pas difficile, parce que le chien à quand même réussi à manger le papier d'alu sur lequel on lui avait mit à manger.
Nous nous trouvions au milieu de la route de la Trace, entre le sentier de découverte de la forêt hygrophile et le jardin de Balata, au niveau d'un arboretum qu'on a bien sur pas visité à cause de la pluie.

Mais je vous monte quand même une petite photo : Un arbre du voyageur. Qui est ce qui sait pourquoi il s'appelle comme ça?? Cette fois ci je laisse le temps de répondre, j'attends quand même que certains répondent. Sauf bien sur maman virgie et Tata GiGi qui connaissent.

25 novembre 2009

La route de la Trace [2]

Le jardin Balata

Nous voilà donc au jardin de Balata, j'vais essayer de vous mettre pas trop de photo, mais c'était tellement beau que ça va être difficile.
Voilà l'entrée.
C'est pas moi qui le dit, mais le Lonely Planet : "Le jardin de Balata est un jardin botanique créé par un particulier Jean-Philippe Thoze, qui passa 20 ans à collectionner des plantes du monde entier et à aménager un site conquis sur la forêt tropicale."
Les flamands roses.
J'suis assez d'accord avec eux, surtout pour la fin parce que le début je peux pas vraiment vérifier, quoique la dame de l'accueil elle nous a raconté quelque chose de similaire. Par contre ce que disait pas le Lonely Planet c'est que le prix avait doublé 1 mois avant notre venu, mais bon ça valait le coup et pis c'est pour un an, donc on y retournera pour voir les plantes et les fleures à d'autre moment de l'année.
Est ce que vous reconnaissez ce qu'il y a au fond de la photo??
C'est la pointe du boue.
Il y a plus de 200 variétés, je vais vous en montrer une partie mais je connais pas le nom, j'avais beau avoir la liste j'ai pas tout retenu, je me souviens juste du numéro 10 mais pas de son nom !!!
Voilà le numéro 10 :
Quelques belles fleures.
Virgie est très photogénique en ce moment !!!!

et de 2 ... heureusement sur celle la y'a les bambous. Une dernière pour la route car je trouve cet arbre bien marrant. J'crois qu'il vient de polynésie.Ok j'en met une deuxième mais promis c'est la dernière, il est marrant aussi, on croirait un ananas.