Marigot
Base de la sous-préfecture et "capitale" du côté français. C'est incontestablement l'endroit le plus fréquenté pour le shopping et l'animation quotidienne.
Hauts lieux de l'élégance, les magasins chics aux alentours de la marina et sur le front de mer accueillent le Tout-Saint-Martin. 
L'origine de son nom vient des nombreux marécages (appelés marigots) qui s'y trouvaient autrefois. 
Elle devint la capitale de l'île durant la période sucrière. Le Fort Saint-Louis fut bâti sous le règne de Luis XVI. A partir de cette époque, la ville fut partagée en plusieurs quartiers, tels ceux de Bellevue, Saint James ou Saint Jean. Aujourd'hui Marigot a des allures de petite ville bien latine et forte élégante. 
Le fort saint louis
Base de la sous-préfecture et "capitale" du côté français. C'est incontestablement l'endroit le plus fréquenté pour le shopping et l'animation quotidienne.
Hauts lieux de l'élégance, les magasins chics aux alentours de la marina et sur le front de mer accueillent le Tout-Saint-Martin. L'origine de son nom vient des nombreux marécages (appelés marigots) qui s'y trouvaient autrefois. Elle devint la capitale de l'île durant la période sucrière. Le Fort Saint-Louis fut bâti sous le règne de Luis XVI. A partir de cette époque, la ville fut partagée en plusieurs quartiers, tels ceux de Bellevue, Saint James ou Saint Jean. Aujourd'hui Marigot a des allures de petite ville bien latine et forte élégante. Le fort saint louis
En 1765, le chevalier Descoudrelles, pour protéfer Marigot des Anglais comme des flibustiers, créa la défense du bourg : une batterie de canon sur la pointe Bluff, une sur le morne Rond à Sandy Ground et la troisième sur le morne de Marigot. 
Mais c'est en 1789, sous l'impulsion du chevalier de Durat, gouverneur de Saint Martin et Saint Barthélemy pour Sa Majesté le Roi de France, qui fut construit le fort. Bâti à l'origine pour défendre les entrepôts du port de Marigot où se trouvaient stockés les produits récoltés par les habitants (café, sel, rhum, sucre de canne), il fut très vite délabré avant d'être restauré et modifié au XIXe siècle, pour finalement se trouver de nouveau à l'abandon. 
Il fut également le siège de batailles entre Français et Anglais, ces derniers débarquant régulièrement d'Anguille pour piller les entrepôts. Depuis 1993, des travaux de restauration et de mise en valeur ont été entrepris.
Mais c'est en 1789, sous l'impulsion du chevalier de Durat, gouverneur de Saint Martin et Saint Barthélemy pour Sa Majesté le Roi de France, qui fut construit le fort. Bâti à l'origine pour défendre les entrepôts du port de Marigot où se trouvaient stockés les produits récoltés par les habitants (café, sel, rhum, sucre de canne), il fut très vite délabré avant d'être restauré et modifié au XIXe siècle, pour finalement se trouver de nouveau à l'abandon. Il fut également le siège de batailles entre Français et Anglais, ces derniers débarquant régulièrement d'Anguille pour piller les entrepôts. Depuis 1993, des travaux de restauration et de mise en valeur ont été entrepris.
Le long de la côte, Front Street est la rue commerçante. 
Dans les innombrables magasins souvent tenus par des Indiens, on peut acheter matériel hi-fi, montres, bijoux, alcool, tabac ... les meilleures marques sont vendues à des pris très bas : tout est hors taxe. 
Back street contraste violemment avec Front Street : 
on y voit de belles maisons de bois colorées, habitées par la population locale, et marquées par une indéniable pauvreté. 
La ville possède une très belle plage Great Bay et un front de mer animé.
Historiquement parlant, le fort Amsterdam est la fortification la plus importante de l'île. Il fut construit en 1631 par les Hollandais, ce qui en fait le tout premier fort néerlandais des Caraïbes. N'abritant à l'origine qu'une garnison de 80 hommes et une dizaine d'armes, les murs du fort étaient construits en terre. 
Deux ans plus tard, les Espagnols prenaient possession du fort et en faisaient leur défense la plus importante. Pendant une quinzaine d'années, le fort fut occupé par 300 personnes ; un village surgit derrière les murs du fort, sur le côté sud. Des murs de calcaire furent érigés pour le protéger d'éventuelles attaques de navires militaires. 
La première tentative de Peter Stuyvesant pour reprendre le fort en 1644 échoua. Frappé par une balle de canon, il perdit une jambe et renonça. Puis les Espagnols, réalisèrent que l'importance stratégique de l'île était décroissante, et décidèrent en 1648 de le démolir avant de quitter l'île. Les troupes françaises et hollandaises prirent possession des lieux immédiatement, avant que le traité de partition soit mis en place. 
Pour des raisons inconnues, les Hollandais n'ont jamais reconstruit le fort. En 1748, le capitaine John Philips en reconsolida une partie pour la défense de l'île, et le nomma le fort Amsterdam. Celui-ci appartient maintenant à une société privée qui a construit l'hôtel situé à son entrée.
Virgie regrette vraiment de ne pas avoir pu en voir un gros.
D'abord rencontre avec la bête. 
Puis c'est le décollage, et là au moment où le pilote met à fond les réacteurs on ne s'entend plus, et une mini tornade de sable se forme sur la plage.
En plus, tellement la force du souffle est forte que la mer part dans l'autre sens.
Seulement des petits avions, de maxi 8 - 10 places sont autorisés à atterrir ici, 
car la piste est très courte et dangereuse, de plus seul les pilotes qui ont l'habilitation peuvent atterrir.
Tu vois j'ai pas besoin d'aller te voir dans le grand nord pour voir des school bus.
Alors jalouse ??
Notre voiture à Saint Barth, un jimmy, la classe. Par contre celle la elle avait pas la direction assistée, ça à fait les bras à Virgie. Pour notre journée à Saint Barth nous avons fait 50 km pour une île qui fait 25 km², pas mal aussi.
Notre avion pour le retour de Saint Barth à Saint Martin, mais cette fois-ci c'est un avion de 6 places, assez serrée les places. C'était une très bonne expérience.
donc à l'opposé de Great Bay et de sa marina, la petite plage sauvage est assez proche de la pointe éponyme qui accueille notamment les gros bateaux de croisières et la seconde marina de la capitale hollandaise. 
Peu fréquentée et au pied d'une colline qui domine la côte sud et une bonne partie de l'arrière pays,
la plage attire surtout les surfeurs et les visiteurs que se baladent dans les alentours.
C'est ici qu'on pic nic, voilà notre premier repas sur l'île.
Sa réputation n'est pas imméritée. 
Tous les ingrédients sont réunis pour créer un arrière plan cinématographique idéal, soit une French Riviera version tropicale qui contraste avec un arrière pays sec : bleu azur, blanc, émeraude, vagues, surfeurs et sable blanc fin. 
C'est ici qu'on en profite pour faire une petite sieste.
le paysage accidenté dominé par un étendu massif qui compte plusieurs pics (Bell Hill - 198 m, First Stick Hill - 212 m, Pigeon Pea - 214 m et Red Rock - 265 m) ne laisse pas deviner de suite la beauté du site. Une fois le point culminant atteint, on contemple tout un ensemble composé de la baie, d'hôtels , de résidences et de la marina. 
La plage répond à toutes les attentes : grandes, larges et face au rocher éponyme, elle étale son sable fin entre Bell Point et la Pointe des Froussards.
C'est l'endroit qu'on a choisi pour boire un coca bien frais.
Little Bay est une sympathique plage réunissant les ingrédients classiques de la partie hollandaise : agréable sable blanc et hôtels en arrière plan, l'un des plus connues étant le Divi Little Beach.
On en profite pour prendre un petit bain. Au fond vous m'apercevez entrain de bronzer sous le cocotier.
Petite de taille et légèrement à l'écart des grands hôtels, la plage attire néanmoins du monde grâce à un sable fin et une mer assez calme. 
Petite pause sur un transat avec un jus de pomme bien frais, les pieds en éventail.
Et c'est pas encore fini.